Globalement, les baleines nous apparaissaient plus comme des victimes que comme des criminels même quand l'une d'entre elle avait attaqué Jonas, c'était de la pêche "no kill".
Les dauphins qui jouaient autour des bateaux acceptaient et même recherchaient la compagnie des humains, or de plus en plus quand ils ne sont pas victime de la pêche, ils viennent mourir sur nos plages comme s'ils nous appelaient au secours. De plus en plus fréquemment les orques attaquent des voiliers dont le safran leur créerait certaines incommodités.
Breaking news : 29 Octobre 2023 un chercheur australien est non seulement attaqué par une baleine bleue, mais celle-ci l'entraîne au fond pour essayer de l'écraser, au moins de le noyer.
Dans la mer la tension monte devant les continents de plastique qui dérivent dans l'Atlantique et dans Le Pacifique Nord : https://www.letemps.ch/sciences/observer-ciel-continents-plastique pour celles et ceux qui trouvent des micro-particules mêlées au plancton dont ils se nourrissent.
Il y a un probléme, comme celui de l'eau, comme celui de l'extrème pauvreté, mais rechercher la solution qui dépasse tout bénévolat de manière exponentielle n'est pas rentable. C'est tout.
Après les humains qui sera la prochaine proie des assassins ? Question tout à fait concrète, quelle est la rentabilité de ces assassinats ? Et qui en poche le prix : "on" ?